C'est qu'il en faut de la volonté pour sortir de la boucle, et des boucles en général. Mais plus que ça encore, un certain savoir, et/ou une intuition. Il faut au moins pouvoir s'imaginer assez clairement une alternative possible, ce qui est compliqué quand notre vie se résume à un angle d'observation qui n'a fait que de se répéter et une volonté passée sous les coups de la corruption. La capacité d'être un "spectateur actif" de soi même. ça va peut être encore au delà du savoir, une force intérieur, comme une "voix" à peine perceptible, une lumière pas loin de l'extinction, mais peut être inextinguible. Faible et silencieuse mais présente.... Pour la raviver il faut pouvoir l'écouter, écouter son silence...
Des sans âmes corrompant des âmes, ou plus simplement une injustice en entrainant une autre. Oui, il faut de la volonté et de la perspicacité pour sortir de la boucle. Il faut accepter d'encaisser, assumer le fait de ne pas arriver à toujours assumer. Il doit y avoir une volonté externe qui souhaite cette folie afin de pouvoir s'en nourrir, afin de pouvoir contrôler(l'autre). Pas de preuve absolu là dessus, mais quand on regarde la nature de cette réalité, il est clair que la souffrance a été jetée volontairement dans ce simulacre pour servir un ou des objectifs, tout comme comme le chaos, le changement inévitable. Rien doit durer, nous laisser le temps de percer ses vilains mystères. Faire table rase devient une nécessité, d'ou les interminables cycles. J'imagine.
L'intérieur d'autrui pourrait être l'étincelle ravivant l'intérieur souillé du concerné. Ce n'est pas compliqué en théorie et en général, mais il y a des spécificités pour chacun. L'exercice exige du pré requis cela dit, il faut savoir ce qu'on fait, le vouloir pleinement.
On a essayé de nous faire croire tant d'idioties, et même pas toujours volontairement. Il suffit d'être persuadé de savoir; à tord, pour risquer de propager ses propres illusions. On dit souvent qu'il faut se battre dans la vie, pour ci, pour ça... pour tout en fait. Il s'agit en fait d'une des erreurs qui cause le plus de tord à l'humanité, l'enfonçant dans la matière, la validant, donnant sa légitimité à toutes ses horreurs. Et ainsi on s'éloigne toujours plus de nous même, de l'esprit, du Réel.
La vérité est en fait dans l'unité( et non son simulacre, son inverse dans le fond: l'uniformité), et cela commence inévitablement par soi même, en soi même. Ce n'est pas optionnel pour aller plus loin. On est un tout, l'unité apaise les peurs, selon son degré intérieur réel, alors que la division amène le trouble, elle recolle les fragments de nos peines. Ce que j'entends par le terme "unité" est un peu vaste et ne sous entend pas une confiance naïve et aveugle, plutôt un grande volonté et une vigilance constante. Mieux vaut pouvoir être en phase intérieurement, et quand le rapport à l'autre parvient à atteindre le stade de rapports intérieurs mutuels, je pense qu'il y a là un Grand potentiel. Là est aussi le potentiel d'en finir pour de bon avec là/les matrice(s).
Des sans âmes corrompant des âmes, ou plus simplement une injustice en entrainant une autre. Oui, il faut de la volonté et de la perspicacité pour sortir de la boucle. Il faut accepter d'encaisser, assumer le fait de ne pas arriver à toujours assumer. Il doit y avoir une volonté externe qui souhaite cette folie afin de pouvoir s'en nourrir, afin de pouvoir contrôler(l'autre). Pas de preuve absolu là dessus, mais quand on regarde la nature de cette réalité, il est clair que la souffrance a été jetée volontairement dans ce simulacre pour servir un ou des objectifs, tout comme comme le chaos, le changement inévitable. Rien doit durer, nous laisser le temps de percer ses vilains mystères. Faire table rase devient une nécessité, d'ou les interminables cycles. J'imagine.
L'intérieur d'autrui pourrait être l'étincelle ravivant l'intérieur souillé du concerné. Ce n'est pas compliqué en théorie et en général, mais il y a des spécificités pour chacun. L'exercice exige du pré requis cela dit, il faut savoir ce qu'on fait, le vouloir pleinement.
On a essayé de nous faire croire tant d'idioties, et même pas toujours volontairement. Il suffit d'être persuadé de savoir; à tord, pour risquer de propager ses propres illusions. On dit souvent qu'il faut se battre dans la vie, pour ci, pour ça... pour tout en fait. Il s'agit en fait d'une des erreurs qui cause le plus de tord à l'humanité, l'enfonçant dans la matière, la validant, donnant sa légitimité à toutes ses horreurs. Et ainsi on s'éloigne toujours plus de nous même, de l'esprit, du Réel.
La vérité est en fait dans l'unité( et non son simulacre, son inverse dans le fond: l'uniformité), et cela commence inévitablement par soi même, en soi même. Ce n'est pas optionnel pour aller plus loin. On est un tout, l'unité apaise les peurs, selon son degré intérieur réel, alors que la division amène le trouble, elle recolle les fragments de nos peines. Ce que j'entends par le terme "unité" est un peu vaste et ne sous entend pas une confiance naïve et aveugle, plutôt un grande volonté et une vigilance constante. Mieux vaut pouvoir être en phase intérieurement, et quand le rapport à l'autre parvient à atteindre le stade de rapports intérieurs mutuels, je pense qu'il y a là un Grand potentiel. Là est aussi le potentiel d'en finir pour de bon avec là/les matrice(s).