Michele Rivasi : Le coup de gueule de Michèle Rivasi sur la 5G
Voici la conclusion au workshop organisé par Michèle Rivasi, députée européenne, le 7 février 2023 au Parlement européen. Un workshop à destination des députés européens, de la Commission européenne et des parties prenantes, afin de rencontrer le collectif « Europeans for Safe Connections » et d’autres représentants d’organisations de la société civile préoccupés par la question des pollutions électromagnétiques des connexions sans fil, et de présenter leurs premières actions alertant du côté obscur de nos technologies modernes de télécommunications sans fil.
https://www.youtube.com/watch?v=uM9S7SNPVH0
Vu sur le groupe, ça peut t'intéresser Karlus :
https://maisonsaine.ca/article?id=100425
et aussi : https://maisonsaine.ca/article?id=26536
""Cet article est un excellent complément à l'importante publication faire hier qui est également recommandée à votre attention...
Une victime de la pollution électromagnétique nous livre le fruit de ses découvertes
https://www.facebook.com/.../Appe.../pos...068159326/
Voici quelques extraits de ce nouvel article d'André Fauteux...
En 1995-1996, nous avons réalisé pour la SCHL 43 mesures de l'exposition résidentielle aux CEM à travers le pays : 11 en Colombie-Britannique, 8 dans les Prairies, 18 en Ontario et 6 au Québec. Nous avons également étudié diverses mesures de mitigation visant à minimiser l'exposition du public. Ce document résume cette étude préliminaire non publiée. L'étude a révélé que le respect du Code de l'électricité, l'application de bonnes pratiques de câblage ainsi que l'éloignement des sources émettrices permetttent de minimiser l'exposition des gens aux CEM.
... les deux-tiers de la pollution électromagnétique résidentielle sont attribuables à des erreurs de câblage dans les maisons, aux appareils électriques et aux courants résiduels générés par la mise à la terre (MALT) typiquement effectuée sur l'entrée d'eau en milieu urbain.
... L'étude a consisté en 43 visites de 36 bâtiments résidentiels à travers le pays, dont un immeuble multi-logements. Quelque 10 000 mesures furent prises dans 338 pièces puis des exercices de mitigation des CEM furent ensuite effectués dans sept maisons à problème.
... L'on a mesuré plusieurs types de radiations non-ionisantes : les champs électriques et les champs magnétiques de 60 Hz, le champ magnétique terrestre, et enfin des radiofréquences et micro-ondes émises par diverses sources. À l'époque, aucune des maisons visitées n'était située à proximité d'antennes de téléphones mobiles.
... Les champs étaient jusqu'à deux fois plus élevés dans les communautés urbaines qu'en zones de faible densité. Ils étaient également plus élevés dans les banlieues très peuplées
... Sur les 36 maisons visitées dans le cadre de l'étude, 17 d'entre elles contenaient au moins un fil de mise à la terre conduisant un courant de 1 à 4,4 ampères en mode tout éteint.
... Les exercices de mitigation ont démontré qu'il est souvent facile et abordable de réduire considérablement les champs magnétiques dans les maisons, par exemple en corrigeant des violations du Code de l'électricité. Ces erreurs sont responsables de 40 % des champs anormalement élevés, selon certains experts.
... Cette étude a démontré que plusieurs maisons canadiennes connaissent des problèmes de CEM qui pourraient facilement être corrigés.""
Voici la conclusion au workshop organisé par Michèle Rivasi, députée européenne, le 7 février 2023 au Parlement européen. Un workshop à destination des députés européens, de la Commission européenne et des parties prenantes, afin de rencontrer le collectif « Europeans for Safe Connections » et d’autres représentants d’organisations de la société civile préoccupés par la question des pollutions électromagnétiques des connexions sans fil, et de présenter leurs premières actions alertant du côté obscur de nos technologies modernes de télécommunications sans fil.
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Voici quelques extraits de ce nouvel article d'André Fauteux...
En 1995-1996, nous avons réalisé pour la SCHL 43 mesures de l'exposition résidentielle aux CEM à travers le pays : 11 en Colombie-Britannique, 8 dans les Prairies, 18 en Ontario et 6 au Québec. Nous avons également étudié diverses mesures de mitigation visant à minimiser l'exposition du public. Ce document résume cette étude préliminaire non publiée. L'étude a révélé que le respect du Code de l'électricité, l'application de bonnes pratiques de câblage ainsi que l'éloignement des sources émettrices permetttent de minimiser l'exposition des gens aux CEM.
... les deux-tiers de la pollution électromagnétique résidentielle sont attribuables à des erreurs de câblage dans les maisons, aux appareils électriques et aux courants résiduels générés par la mise à la terre (MALT) typiquement effectuée sur l'entrée d'eau en milieu urbain.
... L'étude a consisté en 43 visites de 36 bâtiments résidentiels à travers le pays, dont un immeuble multi-logements. Quelque 10 000 mesures furent prises dans 338 pièces puis des exercices de mitigation des CEM furent ensuite effectués dans sept maisons à problème.
... L'on a mesuré plusieurs types de radiations non-ionisantes : les champs électriques et les champs magnétiques de 60 Hz, le champ magnétique terrestre, et enfin des radiofréquences et micro-ondes émises par diverses sources. À l'époque, aucune des maisons visitées n'était située à proximité d'antennes de téléphones mobiles.
... Les champs étaient jusqu'à deux fois plus élevés dans les communautés urbaines qu'en zones de faible densité. Ils étaient également plus élevés dans les banlieues très peuplées
... Sur les 36 maisons visitées dans le cadre de l'étude, 17 d'entre elles contenaient au moins un fil de mise à la terre conduisant un courant de 1 à 4,4 ampères en mode tout éteint.
... Les exercices de mitigation ont démontré qu'il est souvent facile et abordable de réduire considérablement les champs magnétiques dans les maisons, par exemple en corrigeant des violations du Code de l'électricité. Ces erreurs sont responsables de 40 % des champs anormalement élevés, selon certains experts.
... Cette étude a démontré que plusieurs maisons canadiennes connaissent des problèmes de CEM qui pourraient facilement être corrigés.""