Salut Meg, salut les dématriciens, c'est Ramsah. Je fais un test
Bonjour,
à la demande de Meg et Fleur, je vous relate mon parcours au sein de l'équipe de Kokopelli.
Comme depuis toujours, je voulais "vivre de la terre", je récupérais quelques jardins à l'abandon dans mon village.
Et cherchant une activité lucrative sur de petits lopins de terre je décida de faire de la semence après ma rencontre avec Dominique Guillet
Dans de petite surface il me fallait une forte valeur ajoutée, et en 2003, j'attaquait ma première année pour Kokopelli après avoir suivi un stage à Longomaï Forcalquier à sa demande.
Et ça a été mon apprentissage pendant 20 ans avec les plantes. Connaitre leur mode de reproduction leur différences le biotope pour savoir les cultiver.
Heureusement ce métier me plaisait bien et me laissait le temps de me cultiver et d'élever mes enfants en même temps.
Mais en 2006, je me lassais de ma situation dans mes jardins et je demanda à Dominique si c'était possible de partir en mission à l'étranger.
En grand gourou new age post Steiner, il me proposa ou le Sénégal, où le Costa Rica de mémoire.
Ma décision fût rapide et je choisi le Sénégal, étant donné que j'avais déjà des antécédants avec l'Afrique.
C'était l'époque où il y avait de la trésorerie à Kokopelli, et que les "patrons" pouvais se faire des voyages en Inde où au Népal.
Et donc ils m'ont envoyé en mission au Sénégal dans le nord du pays près du fleuve du même nom. Je devais créer un centre de ressource génétique.
Je vais passer un peu sur les détails, mais après avoir séjourné plusieurs semaines chez les peuls du Fouta et à Dakar, le jour de mon anniversaire le 3 juin, Dominique m'annonce que je vais partir en Casamance.
Quel soulagement, il faisait 40 la nuit et dans un univers saelien où les gens ont presque perdu espoir
Ma mission se poursuivait en Casamance et je pris le taxi brousse pour rejoindre le contact qu'on m'avait donné. Lamine Diedhiou Thionck Essil.
Bon je vais pas faire long, là bas je gérais 500 femmes dans 5 bloc maraîchers, pour leur apprendre à faire de la semence, et je me suis amouraché d'une d'entre elles et on a un fils maintenant de 15 ans.
J'ai bien connu tout les salariés de Kokopelli, quand le siège était à Alès, je n'habitais pas loin dans le sud Ardèche.
On travaillait en équipe pour un destin commun. Je salut Cécile, Philippe et annie, Raoult, frédéric Jean marc et bien d'autre, deux sont mort du cancer , hommage particulier à Jocelyn et Pascaline qui faisait les foire aux plantes.
C'est vrai nous étions une équipe de producteur et chaque automne on était convié à un séminaire nourris logés pour livrer nos graines.
Malheureusement, tous ça c'est mal passé lors du déménagement de Kokopelli en Ariège.
On a vu le vrai personnage de Dominique Guillet version Xochipelli.
C'est qqun de très intelligent et pertinent, mais pour construire quoi à voir.
On a mis une pointeuse au siège de Kokopelli en Ariège comme quoi on peu faire la pause quand on veux. La vitrine à été taguée et bcp on démissionné et on écrit un livre "nous n'irons plus pointé chez Gaïa"
Voilà une parti de mon expérience chez Kokopelli
Bonjour,
à la demande de Meg et Fleur, je vous relate mon parcours au sein de l'équipe de Kokopelli.
Comme depuis toujours, je voulais "vivre de la terre", je récupérais quelques jardins à l'abandon dans mon village.
Et cherchant une activité lucrative sur de petits lopins de terre je décida de faire de la semence après ma rencontre avec Dominique Guillet
Dans de petite surface il me fallait une forte valeur ajoutée, et en 2003, j'attaquait ma première année pour Kokopelli après avoir suivi un stage à Longomaï Forcalquier à sa demande.
Et ça a été mon apprentissage pendant 20 ans avec les plantes. Connaitre leur mode de reproduction leur différences le biotope pour savoir les cultiver.
Heureusement ce métier me plaisait bien et me laissait le temps de me cultiver et d'élever mes enfants en même temps.
Mais en 2006, je me lassais de ma situation dans mes jardins et je demanda à Dominique si c'était possible de partir en mission à l'étranger.
En grand gourou new age post Steiner, il me proposa ou le Sénégal, où le Costa Rica de mémoire.
Ma décision fût rapide et je choisi le Sénégal, étant donné que j'avais déjà des antécédants avec l'Afrique.
C'était l'époque où il y avait de la trésorerie à Kokopelli, et que les "patrons" pouvais se faire des voyages en Inde où au Népal.
Et donc ils m'ont envoyé en mission au Sénégal dans le nord du pays près du fleuve du même nom. Je devais créer un centre de ressource génétique.
Je vais passer un peu sur les détails, mais après avoir séjourné plusieurs semaines chez les peuls du Fouta et à Dakar, le jour de mon anniversaire le 3 juin, Dominique m'annonce que je vais partir en Casamance.
Quel soulagement, il faisait 40 la nuit et dans un univers saelien où les gens ont presque perdu espoir
Ma mission se poursuivait en Casamance et je pris le taxi brousse pour rejoindre le contact qu'on m'avait donné. Lamine Diedhiou Thionck Essil.
Bon je vais pas faire long, là bas je gérais 500 femmes dans 5 bloc maraîchers, pour leur apprendre à faire de la semence, et je me suis amouraché d'une d'entre elles et on a un fils maintenant de 15 ans.
J'ai bien connu tout les salariés de Kokopelli, quand le siège était à Alès, je n'habitais pas loin dans le sud Ardèche.
On travaillait en équipe pour un destin commun. Je salut Cécile, Philippe et annie, Raoult, frédéric Jean marc et bien d'autre, deux sont mort du cancer , hommage particulier à Jocelyn et Pascaline qui faisait les foire aux plantes.
C'est vrai nous étions une équipe de producteur et chaque automne on était convié à un séminaire nourris logés pour livrer nos graines.
Malheureusement, tous ça c'est mal passé lors du déménagement de Kokopelli en Ariège.
On a vu le vrai personnage de Dominique Guillet version Xochipelli.
C'est qqun de très intelligent et pertinent, mais pour construire quoi à voir.
On a mis une pointeuse au siège de Kokopelli en Ariège comme quoi on peu faire la pause quand on veux. La vitrine à été taguée et bcp on démissionné et on écrit un livre "nous n'irons plus pointé chez Gaïa"
Voilà une parti de mon expérience chez Kokopelli