12-12-2023, 08:01 PM
Et quand ce qu'on aime faire est devenu source de servitude ?
Il n'y a pas que mon jardin personnel qui se laisse envahir, mais mon jardin aussi, dans son sens 1er, je l'ai laissé se faire envahir, depuis ces 3 années ...
Une partie de mon jardin est devenu un amas de ronces sur plus de 10 m3 qui gagne sur un terrain déjà envahi par des nombreuses "adventices" comme diraient les professionnel du terrain. Ca prend du volume ; ça fait pas envie ... La preuve en est, le jardin d'hiver est totalement vide ... De toutes façons, le temps n'y est pas propice, il est inondé maintenant, en partie, ici, c'est à nouveau le déluge. Quoi de mieux que de revenir tard du boulot, après la journée + 2h de réunion, sous des seaux d'eau sur une route tracée entre 2 immenses lacs, où tu risques l'aquaplaning tous les 100m ... Ca en rajoute. Et puis un boulot avec des collègues dans une ignorance la plus totale de ce qui advient, sans aucune discussion autre que des problèmes liés au boulot lui même et à ses éléments "perturbateurs". Ce ne sont pas des oeillères mais leurs poings qu'ils ont devant leurs yeux, tel l'un des trois petits singes dits de la "sagesse" ... je pourrais même rajouter les 2 autres ... Je suis actrice dans un boulot que je ne reconnais plus, qui donne plus envie ... là non plus. Non vraiment, je sature, ce que j'aimais, n'est plus.
Et puis là, une période avec de longues soirées qui s'éternisent ; une période qui, au niveau de mon boulot a un goût particulier, car la pire de l'année, où le côté commercial est encore plus nauséabond et pourrit ceux qui en sont le plus victimes. Je ne compte pas être plus claire sur le sujet, certains comprendront, d'autres pas. De toutes façons, si j'écris ici, ce n'est pas forcément pour qu'on y comprenne qq chose, mais quand ça déborde, il faut bien s'exprimer parfois, je me permets de le faire ici ... car pas d'autre endroit. Parfois, il suffit d'un rien pour que ça déborde. Un léger alourdissement de ce que l'on ressent, et la balance baisse du mauvais côté, ou bien le yoyo se voit renvoyé au plus bas.
Reprendre sa souveraineté dans tout ça ... sa confiance ... déjà que...
Pierre, je vais changer de mot de passe avant
Il n'y a pas que mon jardin personnel qui se laisse envahir, mais mon jardin aussi, dans son sens 1er, je l'ai laissé se faire envahir, depuis ces 3 années ...
Une partie de mon jardin est devenu un amas de ronces sur plus de 10 m3 qui gagne sur un terrain déjà envahi par des nombreuses "adventices" comme diraient les professionnel du terrain. Ca prend du volume ; ça fait pas envie ... La preuve en est, le jardin d'hiver est totalement vide ... De toutes façons, le temps n'y est pas propice, il est inondé maintenant, en partie, ici, c'est à nouveau le déluge. Quoi de mieux que de revenir tard du boulot, après la journée + 2h de réunion, sous des seaux d'eau sur une route tracée entre 2 immenses lacs, où tu risques l'aquaplaning tous les 100m ... Ca en rajoute. Et puis un boulot avec des collègues dans une ignorance la plus totale de ce qui advient, sans aucune discussion autre que des problèmes liés au boulot lui même et à ses éléments "perturbateurs". Ce ne sont pas des oeillères mais leurs poings qu'ils ont devant leurs yeux, tel l'un des trois petits singes dits de la "sagesse" ... je pourrais même rajouter les 2 autres ... Je suis actrice dans un boulot que je ne reconnais plus, qui donne plus envie ... là non plus. Non vraiment, je sature, ce que j'aimais, n'est plus.
Et puis là, une période avec de longues soirées qui s'éternisent ; une période qui, au niveau de mon boulot a un goût particulier, car la pire de l'année, où le côté commercial est encore plus nauséabond et pourrit ceux qui en sont le plus victimes. Je ne compte pas être plus claire sur le sujet, certains comprendront, d'autres pas. De toutes façons, si j'écris ici, ce n'est pas forcément pour qu'on y comprenne qq chose, mais quand ça déborde, il faut bien s'exprimer parfois, je me permets de le faire ici ... car pas d'autre endroit. Parfois, il suffit d'un rien pour que ça déborde. Un léger alourdissement de ce que l'on ressent, et la balance baisse du mauvais côté, ou bien le yoyo se voit renvoyé au plus bas.
Reprendre sa souveraineté dans tout ça ... sa confiance ... déjà que...
Pierre, je vais changer de mot de passe avant