08-20-2023, 07:55 PM
Oui, c’est certain, être à cran et dans la peur n’arrange rien, ça détruit, ronge notre intérieur, la peur étant extrêmement toxique, nous laissant dans la sidération et empêchant toute action mais aussi toute détente. Elle demeure la plus négative de toutes les émotions et ils s’en nourrissent avidement.
Ce qui est noté au-dessus est de la communication purement informative. Histoire de reprendre et préciser les données de Stan de manière factuelle. D’ailleurs, ici, pour clarifier ce post, une analyse tout à fait pertinente de ce militaire https://fr.sott.net/article/42357-Appel-...lage-final
Un réel détachement est effectivement indispensable et indéniable, pour se préserver, et celà pour tout, quelque soit le sujet !! Je l’ai bien appris à maintes reprises ces derniers temps !
Non pas s’attendre, mais penser au „pire“, afin de ne pas être victime d’une mauvaise surprise déroutante encore une fois.
Savoir que ce ne sont que des marionnettes et, les observer de loin, tels d‘abominables acteurs d‘une pièce de théâtre, d’une tragi-comédie, permet ce détachement. Pièce de théâtre de mauvais goût interminable, dont le dénouement sera forcément une évolution positive …ce ne peut être qu’ainsi. Effectivement, ils sont voués à l’échec, à terme, toutefois pas du jour au lendemain, c’est sûr. Ce qui est sûr, c’est que leur fin est proche car ils savent que l’on sait, ce qui en découle une précipitation les menant à leur perte. La pente a été longue et bien menée pour qu’ils parviennent jusqu’ici, au paroxysme de leur machination. Nous sommes quasiment au sommet, la descente de l’autre côté sera nécessairement turbulente, pour tous. Mais il adviendra une sorte de renouveau, après … quel „renouveau“ ?, comme le passage du Moyen Âge à la Renaissance. (Dit en passant, je me demande bien pourquoi notre engin a donné ce nom à son groupe …) Une descente est toujours plus courte, 3 à 4 ans suffiront, mais ce ne sera pas une descente „aux enfer“ pour ceux qui auront trouvé leur chemin bien intériorisé … Je l’ai bien compris. Facile à dire …et des mots difficiles à traduire, à appliquer, pour pouvoir repartir sur de meilleures fondations.
Chacun sa propre montagne ! La mienne, le sommet et la pente de l’autre côté qui adviendra sont encore loin. L’actuelle est parsemée d’éboulis qui peuvent être des mots mal perçus, des pensées, des actes, des épreuves faisant reculer, pour, peut être mieux avancer par la suite. Se risquer sur un chemin toujours escarpé et tenter de reprendre confiance. Mais bon, avec ce qui advient, il va falloir user de robustesse … Et de plus, par ailleurs, faire un choix cornélien …pour la plupart d’entre nous ; ce choix ou non choix arrivera tôt ou tard ; très certainement plus tôt que tard … Pour celà, rien qu‘y penser demande une grande réflexion …Et les mots sont ici plus simples que les actes. Surtout lorsqu’un pied est bien ancré dans ce monde boueux, on le sait tous que la boue, ça colle. Et ce qui va survenir individuellemnent est bien caché derrière cette montagne …
La pensée va au-delà des mots, oui, souvent les mots ne traduisent pas la pensée qui est plus profonde et vraie, plus pure. Lorsque les mots sont maladroits, c’est qu‘ils ont devancé la pensée, ils ne reflétent alors pas celle-ci qui est plus entière. Et puis des mots peuvent aussi être blessant lorsqu’ils sont le reflet de pensées enfouies chez le destinataire, se sont souvent des mots de raison qui résonnent et se transforment alors en maux. Qui font encore reculer, pour sans doute mieux avancer …mais aussi savoir s’effacer pour toute réflexion et tenter de revenir moins fragile.
Ce qui est noté au-dessus est de la communication purement informative. Histoire de reprendre et préciser les données de Stan de manière factuelle. D’ailleurs, ici, pour clarifier ce post, une analyse tout à fait pertinente de ce militaire https://fr.sott.net/article/42357-Appel-...lage-final
Un réel détachement est effectivement indispensable et indéniable, pour se préserver, et celà pour tout, quelque soit le sujet !! Je l’ai bien appris à maintes reprises ces derniers temps !
Non pas s’attendre, mais penser au „pire“, afin de ne pas être victime d’une mauvaise surprise déroutante encore une fois.
Savoir que ce ne sont que des marionnettes et, les observer de loin, tels d‘abominables acteurs d‘une pièce de théâtre, d’une tragi-comédie, permet ce détachement. Pièce de théâtre de mauvais goût interminable, dont le dénouement sera forcément une évolution positive …ce ne peut être qu’ainsi. Effectivement, ils sont voués à l’échec, à terme, toutefois pas du jour au lendemain, c’est sûr. Ce qui est sûr, c’est que leur fin est proche car ils savent que l’on sait, ce qui en découle une précipitation les menant à leur perte. La pente a été longue et bien menée pour qu’ils parviennent jusqu’ici, au paroxysme de leur machination. Nous sommes quasiment au sommet, la descente de l’autre côté sera nécessairement turbulente, pour tous. Mais il adviendra une sorte de renouveau, après … quel „renouveau“ ?, comme le passage du Moyen Âge à la Renaissance. (Dit en passant, je me demande bien pourquoi notre engin a donné ce nom à son groupe …) Une descente est toujours plus courte, 3 à 4 ans suffiront, mais ce ne sera pas une descente „aux enfer“ pour ceux qui auront trouvé leur chemin bien intériorisé … Je l’ai bien compris. Facile à dire …et des mots difficiles à traduire, à appliquer, pour pouvoir repartir sur de meilleures fondations.
Chacun sa propre montagne ! La mienne, le sommet et la pente de l’autre côté qui adviendra sont encore loin. L’actuelle est parsemée d’éboulis qui peuvent être des mots mal perçus, des pensées, des actes, des épreuves faisant reculer, pour, peut être mieux avancer par la suite. Se risquer sur un chemin toujours escarpé et tenter de reprendre confiance. Mais bon, avec ce qui advient, il va falloir user de robustesse … Et de plus, par ailleurs, faire un choix cornélien …pour la plupart d’entre nous ; ce choix ou non choix arrivera tôt ou tard ; très certainement plus tôt que tard … Pour celà, rien qu‘y penser demande une grande réflexion …Et les mots sont ici plus simples que les actes. Surtout lorsqu’un pied est bien ancré dans ce monde boueux, on le sait tous que la boue, ça colle. Et ce qui va survenir individuellemnent est bien caché derrière cette montagne …
La pensée va au-delà des mots, oui, souvent les mots ne traduisent pas la pensée qui est plus profonde et vraie, plus pure. Lorsque les mots sont maladroits, c’est qu‘ils ont devancé la pensée, ils ne reflétent alors pas celle-ci qui est plus entière. Et puis des mots peuvent aussi être blessant lorsqu’ils sont le reflet de pensées enfouies chez le destinataire, se sont souvent des mots de raison qui résonnent et se transforment alors en maux. Qui font encore reculer, pour sans doute mieux avancer …mais aussi savoir s’effacer pour toute réflexion et tenter de revenir moins fragile.